Franck a trente ans, une carrière d’architecte bien établie à Paris, et une vie qu’il traverse en pilote automatique. Jusqu’au jour où, épuisé par le vide et la répétition, il décide de tout quitter. Panama, New York, Aveyron : le roman suit sa trajectoire d’homme en rupture, parti chercher un sens, un lien, un feu.
Au coeur de la jungle, il rencontre Anya, une femme libre et insaisissable, qui bouleversera sa perception de l’amour et de l’engagement. Mais l’histoire ne suit pas un schéma simple. Loin des clichés de la reconquête ou du miracle amoureux, Arc en ciel explore les silences, les ratés, la lenteur des deuils et la force des renaissances.
Franck finit par revenir en France, où il rejoint une communauté alternative dans un hameau qu’il contribue à bâtir. Ce lieu, vivant et organique, devient l’espace d’une reconstruction personnelle, collective, puis, un jour, amoureuse.
En chemin vers l’arc en ciel parle de la difficulté d’aimer, du silence entre les êtres, du rôle du groupe dans la réparation, et du lien entre écologie extérieure et paysage intime.
Ce roman est né du besoin de raconter un autre récit que celui de la réussite individuelle : un récit de lenteur, de communauté, d’écologie intérieure. J’ai voulu créer un personnage masculin vulnérable, capable de rater, d’aimer mal, de fuir — mais aussi d’apprendre, de s’ouvrir, de construire autrement.
Les thèmes abordés sont la quête de sens et la rupture de vie, l’écologie concrète, la masculinité vulnérable, la reconstruction par le collectif.
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